STRAEHLER KIM
Depuis qu’elle est capable de tenir un crayon, Kim Straehler n’a eu de cesse de griffonner partout et sur tout ce qui lui passait sous la main. A l’âge de 7 ans, ses parents l’inscrivent à des cours privés histoire de se défouler ailleurs que dans les marges de ses cahiers d’école. De là, elle développera rapidement un talent particulier et suit dorénavant les cours avec les adultes, plus appropriés à ses capacités. A 14 ans, son professeur ayant épuisé ses ressources, ne voit plus l’utilité pour Kim de participer à ses cours. L’adolescente poursuit ses études, finit son gymnase, débute l’université en psychologie, puis abandonne et part s’installer en Australie. Elle y séjournera pendant plus de 4 ans et débutera là-bas son parcours artistique en free-lance, fruit de rencontres et d’opportunités artistiques.
Kim crée avant tout avec son instinct, se calque sur ses émotions et laisse ses mains faire le reste. Elle s’inspire de son environnement direct; un regard, un paysage, une couleur, une architecture, une ambiance… tout devient source d’inspiration. Au fil du temps, son style s’est précisé. D’abord très figuratifs et retenus, ses traits se sont ensuite détendus pour laisser place à des gestes plus bruts et innés mais toujours harmonieux afin de créer un équilibre dans son ensemble. Elle ne se contente pas d’un seul style, mais préfère s’abandonner à tous.
Du perfectionnisme à l’abstrait, tout lui parle, elle s’adapte. La lumière reste cependant le point fondamental de ses créations et leur donne leur dimension. Selon elle, l’Art n’a pas de limite. C’est un instinct, la matérialisation d’une idée, d’une envie, d’un souffle. La jeune artiste prend le pari de faire de sa passion son métier. Au travers d’expositions, des réseaux sociaux, d’articles de journaux, de manifestations culturelles et du bouche-à-oreille, elle tente de se faire une place dans le monde si vaste de l’Art.
Kim crée avant tout avec son instinct, se calque sur ses émotions et laisse ses mains faire le reste. Elle s’inspire de son environnement direct; un regard, un paysage, une couleur, une architecture, une ambiance… tout devient source d’inspiration. Au fil du temps, son style s’est précisé. D’abord très figuratifs et retenus, ses traits se sont ensuite détendus pour laisser place à des gestes plus bruts et innés mais toujours harmonieux afin de créer un équilibre dans son ensemble. Elle ne se contente pas d’un seul style, mais préfère s’abandonner à tous.
Du perfectionnisme à l’abstrait, tout lui parle, elle s’adapte. La lumière reste cependant le point fondamental de ses créations et leur donne leur dimension. Selon elle, l’Art n’a pas de limite. C’est un instinct, la matérialisation d’une idée, d’une envie, d’un souffle. La jeune artiste prend le pari de faire de sa passion son métier. Au travers d’expositions, des réseaux sociaux, d’articles de journaux, de manifestations culturelles et du bouche-à-oreille, elle tente de se faire une place dans le monde si vaste de l’Art.
